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Bible-02-questions-Marc 2, 1-12 : Le paralytique

Promo 16:  2016-2018

Bizarreries, questions

Éléments de sens, découvertes, accents

1- Quel rôle, quelle place donner au collectif, au collégial, pour mener à bien un changement ?

Un changement, une transformation, passe par un besoin de convaincre, de prouver : il y a forcément une méfiance, une opposition au départ.
2- Quid du paralytique ? ? Son avis , sa parole, son souhait.. un prétexte---un faire-valoir ?

Paralytique = dans nos communautés éducatives.
Nécessité d’accompagner celui qui souffre.
... Et donner des outils pour l’aider à se « lever » !, s’en sortir

3- Pourquoi cette insistance sur le "grabat" ? "Lève-toi, prends ton grabat puis il repart avec son grabat. C’est peut-être anecdotique.

Jésus commence par pardonner les péchés du paralytique. Il ne lui a pas demandé : « Que veux-tu que je fasse pour toi ? » Seulement dans un deuxième temps, il guérit le physiquement.

Le paralytique a besoin de 4 hommes bravant la foule, trouant le toit. Il n’est pas allé seul vers Jésus.

4- Que faire avec un «  paralysé qui marche » qui ne reconnaît pas son mal ?

Ex : élève ou collègue qui ne veut pas d’aide, résigné.

Importance du rôle du « frère » du médiateur, du portant…du 3ème (la tierce personne), dans la relation d’aide, la guérison.

5- Quel est le sentiment du paralysé quand il prend son brancard et sort devant tout le monde ? Il faut parfois accepter de provoquer des conflits pour faire avancer les choses.

6- Jésus a-t-il réussi à convaincre toute la foule, qu’il  était le Fils de Dieu ?

Ne pas baisser les bras. Chercher un moyen de faire passer notre message pour un changement d’attitude ou en faisant réagir le groupe par une action.

7- Pourquoi le paralytique n’a aucune hésitation lorsque Jésus lui ordonne de se lever ?

Jésus annonçait la Parole. Il semble que la parole ici ne soit pas suffisante et qu’il faille un acte pour convaincre. Si l’on ne doute pas , tout est possible.

8- Et si le paralysé n’avait pas pu accéder dans la maison, s’approcher de Jésus, comment aurait-il été guéri ? (Question de ceux qui n’osent pas demander, qui sont trop loin, qui ne sont pas entendus.)

Le paralysé est guéri suite au constat de la foi des 4 porteurs. Importance de la médiation des hommes dans l’action de Dieu.

9- Est-ce le poids des péchés du paralytique qui l’empêche de marcher ? Pourquoi Jésus ne sort- il pas ?

 

10- Pourquoi cette symbolique du toit ?Quelle en est l’explication ? On amène à Jésus le paralytique et personne ne parle, ni les porteurs, ni le paralysé. Pourquoi garder le silence après chaque guérison. [Yves C.]

Ce que cela m’apporte dans ma vie au collège aujourd’hui : « Écouter, aider, accompagner, pour continuer à avancer près de l’autre.

11- Pourquoi Jésus va-t-il dans le sens des  scribes en guérissant le corps du paralytique alors que déjà l’essentiel était déjà fait (pardon des péchés) ? Autrement dit , Jésus se sent-il obligé de donner des preuves aux hommes de ce qui il est ?

 

12- Le paralysé l’est-il de ses péchés. Est-il dans l’histoire ou bien , est-il utilisé (un artifice) pour faire passer un message : il faut se relever, ne pas rester figé dans ses erreurs ?

Nous les éducateurs, sommes les porteurs du brancard de nos jeunes Nous sommes le vecteur qui peut aider le jeune à ne pas rester paralysé. Nous avons « le pouvoir » de lui tendre la main pour un nouvel  élan,  une autre chance.

13- Jésus sentait-il que les hommes venaient avec ce paralysé ?
Qui a été guéri de ses péchés ? le groupe ? ou le paralysé ?

J’ai pris conscience que c’était très difficile d’être au plus près de la réalité( ce n’est pas Jésus qui a écrit ce texte .)

14- Est-ce un texte historique ? Le paralysé est-il une personne physique ou représente-t-il autre chose ?

C’est une paralysie de la relation.

15- Pourquoi les 4 porteurs descendent-ils le paralysé par le toit ?
La paralysie est-elle la conséquence de ses péchés ?

 

16-

Prise de conscience de ce qui me fonde : sa complexité, son histoire personnelle.

17- Comment Jésus a réussi à développer une telle énergie autour de lui ? Déplacer les foules, démonter les toits pour amener à lui un paralytique.

La Foi, croire en Dieu, en Jésus, est un puissant moteur, une source d’énergie.

18- Pourquoi systématiquement parler de miracle ?

 

19- Comment croire aux miracles ?

La vérité est inaccessible à l’homme mais ma foi m’en rapproche.

20- La question qui me reste est plus personnelle, et sans doute que personne, sauf moi, ne pourra y répondre : 5ème et dernier enfant d’une famille des Mauges de tradition catholique mais pas très catholique, je suis aujourd’hui le seul croyant, envoyé. Pourquoi est-ce tombé sur moi ?

Aller au plus près de ce qui s’est réellement passé… Possible ou pas ? sans doute pas. Est-ce finalement si important d’avoir tous les détails, de tout vérifier ? sans doute pas. Le sens que je peux donner au texte n’a pas besoin de ça.

21- Pourquoi Jésus a-t-il guéri le paralytique ?( au-delà du sens physique de la guérison )

Conviction autour de la Foi comme Trinité : Fils de l’homme, Dieu, Esprit qui fait que n’importe quelle version de la Bible, nous parle, est vivante.
J’ai aimé l’expression : lire aux éclats !

22-

Prise de conscience de l’importance de ce livre.
Confiance dans ce qui est écrit par l’homme .

23- Pourquoi ne pas guérir tous les malades ? Beaucoup prient mais rien ne se passe.

Il faut croire, espérer, et essayer. Et être accompagné.

24- Pourquoi les miracles existent-ils ?
Est-ce un miracle ou un mystère ?

Voir tout au long de ma vie des personnes qui ont pu bousculer celle-ci : Mystère ou pas .

25- Pourquoi aussi peu de remerciements , de reconnaissance dans les récits de guérison ?

Découverte…ou plutôt redécouverte et conviction. Il n’y a pas  besoin  de demander pour recevoir de la part de Dieu. Dans le récit, à aucun moment on ne fait mention de volonté de la part du paralysé.

26-

Le rôle essentiel des porteurs pour permettre au paralysé de rencontrer le Christ.

27- Comment agir vis à vis de certains élèves paralytiques ? Que peut-on mettre en place pour des élèves dont on sent que leur vie en dehors de l’établissement, pour des raisons très variées,  ne peut leur permettre de se mettre debout et de marcher ? Pour ces élèves on a parfois le sentiment d’essayer de remplir le tonneau des Danaïdes ou que , tels Pénélope, ce que nous construisons chaque jour est détruit d’ici le lendemain. Comment peut-on devenir pour eux des «  maîtres d’existence » ?

 

28- Est-ce qu’on ne fait pas dire au texte ce qu’on veut ? Pas facile de lire , commenter des textes sans une « base » de connaissance de la «  chose ».

 

 


 

Promo 15:  2014-2016

Bizarreries, questions

Éléments de sens, découvertes, accents

Pourquoi être obligé de déblayer la terrasse et d’y creuser un trou ?

Lien croyance – maladie 

  • Aussi facile de pardonner les péchés que de guérir
  • Et le lien « important » qu’il peut y avoir entre les péchés et la maladie.

J’ai également trouvé très intéressante la distinction faite entre erreur / faute / péché.

« Mon enfant, tes péchés sont remis ».

  • Pourquoi ce pardon ?
  • Pourquoi pardonne-t-il avant de guérir ?

La guérison permet  de montrer aux Pharisiens qu’il est bien Fils de Dieu

Pourquoi JC recourt-il au miracle ?

La foi a-t-elle besoin de « concret » ou sont-ce les hommes qui ont besoin de concret pour venir à la foi ?

Le miracle d’ordre spirituel vient d’abord, celui du corps ensuite.

Le pardon des péchés n’est pas visible aux yeux des hommes ; il faut qu’i soit accepté par la foi en la parole de Dieu.

L’homme réussit à sortir par la porte, les gens étaient partis : Déçus que Jésus s’adresse aux scribes et pas à eux ou ils en avaient assez vu ?

Comment Jésus a réussi à voir les scribes dans une foule empêchant quiconque de rentrer dans la maison ?

 

 

« Dé »-couvrir

  • « Enlever une partie du toit » ?
  • « Remarquer »   ?
  • « Observer  » ?

« Le Toit »

  • Le Ciel, la lumière
  • Une Entrée, une Sortie

Alors que tout nous semble parfois bloqué, au sein même de tout (Jésus est là, à la maison, il y a plein de monde …)

Mais, par la foi, c’est regarder vers le haut, et découvrir, dévoiler l’accès à Dieu.

Est-ce que Jésus aurait guéri le paralytique s’il n’avait pas perçu les pensées des scribes ? Aurait-il uniquement remis les péchés du malade ?

Cette ouverture du toit, pour moi, c’est une brèche, une fissure qui permet à Dieu d’entrer dans ma vie, d’y demeurer, de l’éclairer.

Pourquoi a-t-il besoin de prouver cette guérison par le corps alors qu’il n’y avait pas de demande réelle ? La guérison de l’âme ne suffisait-elle pas ?

Chronologie de la guérison : esprit – corps.

Pourquoi Jésus reçoit-il chez lui les scribes qui sont ses détracteurs ? Que veut-il prouver ?

Les réponses des uns et des autres ont permis de montrer qu’en réalité, Jésus voulait peut-être les faire taire en montrant ce qu’il avait fait, mais au nom de la foi, de Dieu.

Le miracle donné sans être demandé.

Guérir l’âme et le corps.

Jésus dit en premier : « Tes péchés sont remis » devant le paralytique. Ce n’est pas forcément la première idée qui me viendrait !

La guérison est pour la première fois physique et morale. D’où question à réfléchir : Une guérison, pour être complète, doit-elle être uniquement physique ou s’accompagne-t-elle obligatoirement d’une « guérison » spirituelle ?

Voyant leur foi // tes péchés sont pardonnés ! La foi des 4 amis (ou des 5) mais seul 1 est pardonné et guéri.

Le péché paralyse. On est sans doute tous paralysés de l’intérieur… !?

Pourquoi le Christ a pardonné et guéri le corps ? Ne serait-il pas une réponse à l’intégralité de la personne par rapport à l’intervention de Jean Caron ? Jésus guérit l’âme (pardonne les péchés) et Jésus guérit le corps pour que le paralytique reste lié à Dieu, à soi et aux autres pour témoigner dans le monde auquel nous vivons.

À qui s’adresse l’évangéliste Marc ?

 

Le lien entre péché / paralysie

Le paralysé était paralysé par ses péchés !...

« remettre les péchés »

« remettre » = pardonner. « Le christianisme, religion du pardon. »

De quelle nature est la paralysie ? Physique, morale ? Serait-elle liée aux péchés ?

Accepter le pardon serait libérateur…

Ne doit-on croire que ce que l’on voit ? (le plus facile de dire c’est « Tes péchés sont remis » ou de dire « lève-toi » ?

Il est toujours difficile de croire quelque chose que l’on ne voit pas. Il faut faire confiance aux autres.

Il n’est pas facile de trouver la force pour se pencher sur son « déséquilibre intérieur », même si on admet qu’on en a un… Cela prend du temps.  Dans le passage de Marc, cela est instantané… je n’y trouve pas la notion de cheminement.. ?

Éclaircissement : Les correspondances symboliques dans la Bible (d’un livre à l’autre, d’un texte à l’autre) qui nous permettent une exégèse d’un passage un peu « obscur » ou « impersonnel ».

Une bizarrerie choquante : Le péché lié au handicap Cette idée, très présente dans la Bible et encore aujourd’hui dans les célébrations et dans notre raisonnement.

Le péché, cette notion si présente dans la Bible, ne serait pas seulement la faute, mais plutôt la douleur. Jésus vient nous libérer de nos douleurs.

Pourquoi ne fait-on pas parler le paralytique ? Qui est-il ?

Quelle interprétation du mot « péché » : faute ou douleur ??

 

Quel lien existe-t-il entre le paralysé et son péché, ses péchés ?

Peut-être est-ce une image, un témoignage pour se mettre en chemin, en marche vers la foi ?

Pourquoi un parallèle est-il fait entre le paralytique et les péchés ? Comme si les péchés avaient une responsabilité dans le fait, l’état de paralytique ?

Le sens du mot péché !

 

Comment interpréter l’associatin « paralysie, péché, faute » ?

 

Jésus guérit le paralytique dans un 2ème temps, dans le texte, c’est pour prouver qu’il peut pardonner des péchés. (Partout ailleurs en Capharnaüm, on nous dit qu’il fait sortir des démons (souffrances psychiques, on imagine))

Est-ce un échelonnement des priorités de la vie ?

 

Le paralysé n’est-il pas ici le symbole de la souffrance, de la douleur de l’humanité ?

Nous sommes toujours fils de Dieu dans l’espérance du pardon.

Qui est le paralytique ?

Le paralytique, c’est nous tous ! C’est celui qui ne marche pas, qui n’est pas en marche et le miracle est donc de le remettre en marche spirituellement pour « aller chez lui », c’est-à-dire vers son intériorité.

« Tous étaient hors d’eux-mêmes et glorifiaient Dieu » => paradoxe. Ils ne comprennent pas l’action de Jésus et en même temps ils le louent !

Le péché : la relation à Dieu.

« On apprit qu’il était à la maison » : la maison de Jésus.

Savoir pardonner, mais aussi accepter le pardon.

Fils de l’homme / Fils de Dieu : est-ce que cela s’oppose ?

Le paralytique à qui Jésus pardonne ses péchés se lève. Vivra-t-il plus en humanité, en vérité ? Est-ce une libération intérieure ?

Pourquoi on n’écarte pas la foule ?

Pourquoi la faute prend souvent l’ascendant sur l’erreur ?

« Tes péchés sont pardonnés »

c’est la même chose que :

« Lève-toi, prends ton grabat et marche »

 

Élément de sens : l’erreur, la faute, le péché.

Comment se fait-il que des gens n’aient pas été frappés par l’évidence de Jésus en tant que Dieu (alors qu’ils avaient ses actions sous les yeux !), et même qu’ils aient cherché à le détruire et à le supprimer ?!

Prise de conscience : « Le pardon, pleinement accordé et pleinement reçu, est libérateur. »

La bizarrerie du chemin frayé par le toit de la maison pour faire passer le paralytique…

L’erreur est une étape obligatoire dans le processus d’apprentissage … Comment évaluer nos élèves ??? Sans sanctionner l’erreur…

 

 

 

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